Test Realme P3 : un smartphone d’entrée de gamme efficace, même pour jouer
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Malgré son prix contenu, ce Realme P3 offre un équipement assez complet et prometteur : processeur Qualcomm véloce, écran OLED 120 Hz, batterie de bonne capacité et recharge filaire assez rapide. Et, en plus, il est étanche. Passons en revue des forces et faiblesses de ce smartphone, vendu à partir de 250 €. Peut-il faire de l'ombre à une concurrence particulièrement agressive ?
Depuis plusieurs années, la marque chinoise Realme s'est fait une spécialité de proposer des smartphones souvent très séduisants, car offrant un excellent rapport équipement-prix. Après notre récent test du Realme GT 7, un smartphone haut de gamme qui nous a particulièrement séduits par son rapport qualité-prix, voici donc le Realme P3, un modèle nettement moins onéreux.
Ce nouveau smartphone, très abordable, essaye donc de challenger plusieurs modèles sortis depuis le début de l'année, comme le Nothing CMF 2 Pro ou le Honor 400 Lite. Voyons si les services offerts par le Realme P3 peuvent satisfaire nos besoins, dans le cadre d'une utilisation bureautique et multimédia basique.
Car il ne s'agit bien sûr pas d'un smartphone destiné aux joueurs invétérés. Quoi que ! Comme nous allons le voir, le constructeur a sélectionné un processeur assez performant (plus performant que ceux des concurrents), qui permet de faire fonctionner la plupart des jeux dans d'assez bonnes conditions. Passage en revue.
Prix et disponibilité
Le Realme P3 est proposé en deux versions :
- Avec 8 Go de mémoire et 256 Go d'espace de stockage : actuellement vendu aux environs de 250 €.
- Avec 12 Go de mémoire et 512 Go de stockage : disponible pour 350 €.
Il entre donc en concurrence directe avec les modèles suivants :
- Le Nothing CMF Phone 2 Pro, vendu 259 € avec 8 Go de mémoire et 128 Go de stockage (on le trouve parfois en promo aux alentours de 219 €)
- Le Honor 400 Lite, actuellement en vente à 250 € avec 8 Go / 256 Go
- Le Galaxy A26, que l'on trouve à 279 € (en version 6 Go / 128 Go), sur le site de Samsung
Design
L'apparence du Realme P3 ne va pas rester dans les annales. Non pas qu'il soit laid, loin de la, mais son design s'avère tout à fait conventionnel. Avec un poids de 194 grammes et une épaisseur de 8 mm, sa prise en main s'avère plaisante. Et comme cela devient de plus en plus courant, ses bords sont plats et ses coins arrondis.
D'autre part, les bordures de l'écran sont assez épaisses, notamment au bas de l'écran, du côté du port USB C, ce qui n'est pas vraiment dans l'air du temps.
Son bloc optique s'avère assez discret, d'une épaisseur contenue. Comme on peut le voir sur la photo ci-dessous, celui du Google Pixel 9 est très nettement plus imposant. Il en résulte une assez bonne stabilité lorsque le Realme P3 est posé sur un bureau et qu'on désire l'utiliser à une main. De plus, ses deux objectifs sont agrémentés d'un cerclage cuivré, qui s'harmonise bien avec la couleur du boîtier.
En l'occurrence, le Realme P3 que nous avons reçu arbore un dos “gris comète” (qui tend d'ailleurs légèrement sur le marron ou le violet). Un autre coloris est disponible : “vert étoilé” (ou plutôt bleu turquoise). D'autre part, la surface mate ne retient que très peu les traces de doigts, ce qui est une bonne chose.
Autre bon point, le Realme P3 est totalement étanche à l'eau et à la poussière (IP68), ce qui n'est pas courant pour un smartphone de ce prix (seul le Samsung Galaxy A26 l'est également !). En plus, le smartphone est censé résister à un nettoyage à haute pression ou à haute température (IP69). Cette dernière caractéristique ressemble fortement à un argument marketing, qui n'est pas d'une grande utilité, sauf si on envisage de laver son smartphone au karcher ou à l'eau bouillante.
À l'instar des Nothing CMF Phone 2 Pro et Samsung Galaxy A26, il est possible d'utiliser un des deux emplacements nano SIM pour installer une carte mémoire microSD, ce qui permet d'étendre – facilement et rapidement – la capacité de stockage, si cela devient indispensable. Certains pourront regretter l'incompatibilité du smartphone avec la technologie eSIM.
De plus, en l'absence d'une prise casque et en raison de deux HP qui délivrent un son stéréo de piètre qualité, quasiment sans basses, il est nécessaire d'utiliser un casque ou des écouteurs Bluetooth, pour jouer, regarder des vidéos ou écouter de la musique.
Enfin, pour assurer ses données, on retrouve un lecteur d'empreintes digitales placé au bas de l'écran. Et, comme toujours, on peut également faire appel au capteur photo frontal pour identifier le visage de l'utilisateur et déverrouiller le smartphone.
Écran
Comme nous allons le voir, l'écran du Realme P3 a des caractéristiques techniques des plus classiques. En effet, il exploite une dalle OLED de 6,67 pouces de diagonale, avec juste un (petit) poinçon qui abrite l'objectif photo frontal.
Sans surprise, les images sont affichées en mode Full HD, soit 2400 x 1080 pixels (format 20:9), avec un taux de rafraichissement maximal de 120 Hz (les modes 60 Hz et Automatique peuvent également être sélectionnés).
En revanche, en termes de performances d'affichage, le Realme P3 est plutôt bien loti. En effet, le constructeur communique sur une luminosité standard de 600 nits (et jusqu'à 2000 nits en pic HDR). Et, selon les mesures que nous avons effectuées, cette valeur est respectée, puisque notre sonde fait état d'une luminosité de 578 nits.
D'autre part, lorsqu'on active le mode Luminosité automatique, la luminosité grimpe jusqu'aux environs de 1200 nits (1178 nits précisément). Si ces résultats s'avèrent sensiblement les mêmes que ceux observés sur les Honor 400 Lite et CMF Phone 2 Pro (luminosité maximales respectives de 1125 nits et 1252 nits), ils sont plus élevés que ceux que nous avions mesuré sur le Samsung Galaxy A26 (luminosité maximale de 745 nits).
Autre bon point, la colorimétrie de la dalle OLED s'avère très satisfaisante. Ainsi, si on utilise le profil d'affichage Pro Cinématique, le Delta E moyen est mesuré à seulement 2,4. Le Contrat est donc rempli, puisque toute valeur inférieure à 3 est considérée comme excellente (cette mesure indique que la différence entre les teintes affichées à l'écran et les couleurs optimales théoriques est invisible à l'œil nu).
De plus, la couverture colorimétrique de l'écran s'avère excellente, car ce dernier est en mesure de reproduire 100 % du gamut DCI-P3 (ce qui est l'objectif que tous les constructeurs cherchent à atteindre de nos jours).
Enfin, la température moyenne des couleurs – toujours dans le mode Pro Cinématique – est de 6275 K. La colorimétrie est donc légèrement trop chaude (mais c'est la valeur la plus proche de la colorimétrie parfaitement neutre, à savoir 6500 K, que nous ayons obtenue).
Performances
Les (bonnes) performances du Realme P3 sont assurées par le processeur Qualcomm Snapdragon 6 Gen 4. Il s'agit d'une puce à huit cœurs, dont un fonctionnant à 2,3 GHz, trois à 2,2 GHz et les 4 derniers à 1,8 GHz.
En toute logique, cette puce s'avère plus convaincante que le Snapdragon 6 Gen 3, intégré par exemple au Samsung Galaxy A36. En effet, tous les benchmarks que nous avons lancés ont obtenu des résultats plus élevés. Le smartphone de Samsung étant vendu actuellement 389 € (avec 8 Go de mémoire et 256 Go de stockage), c'est plutôt intéressant.
En outre, la puce Qualcomm du Realme P3 s'avère nettement plus véloce que le Mediatek Dimensity 7025 Ultra du Honor 400 Lite. En revanche, par rapport au Dimensity 7300 Pro du CMF 2 Pro, le constat est à nuancer. Car les benchmarks qui mesurent les performances du CPU en termes de calculs montrent un comportement assez similaire au Dimensity 7300 Pro.
La différence est toutefois plus grande lorsqu'on observe les scores obtenus avec les benchmarks qui évaluent le GPU, comme 3D Mark. Et, dans ce domaine, le GPU Adreno 810 du Snapdragon 6 Gen 4 s'avère plus véloce que le GPU du Dimensity 7300 Pro.
Bref, les performances du Realme P3 sont satisfaisantes, compte tenu du prix de vente de l'appareil. Mais, elles demeurent bien sûr inférieures à celles des puces intégrées aux smartphones de milieu de gamme légèrement plus onéreux :
- Qualcomm Snapdragon 7s Gen 3, intégré par exemple aux Nothing Phone (3a) et (3a) Pro (à partir de 349 € avec 8 Go de mémoire et 128 Go d'espace de stockage).
- Snapdragon 8s Gen 4, présent dans le Xiaomi Poco F7 (à partir de 399 € avec 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage).
- Mediatek Dimensity 8400 Ultra, que l'on trouve – entre autres – dans le Xiaomi Poco X7 Pro (à partir de 315 € avec 8 Go de mémoire et 256 Go de stockage).
L'efficacité du Snapdragon 6 Gen 4 se ressent également lorsqu'on joue. Par exemple, avec Fortnite, on bénéficie d'animations fluides (jusqu'à 60 images par seconde), alors que le niveau graphique du jeu est ajusté à Moyen, ce qui permet d'obtenir des décors assez bien détaillés.
On note qu'un onglet apparaît sur le bord de l'écran lorsqu'un jeu est lancé. Il donne accès à une petite fenêtre flottante, qui permet de définir le mode de fonctionnement du smartphone. De nombreuses autres options y sont proposées.
Système
Le Realme P3 fonctionne bien sûr sous Android 15, auquel le constructeur a ajouté sa surcouche Realme UI 6.0. L'ensemble devrait être mis à jour pendant les quatre prochaines années (et 6 ans pour les mises à jour de sécurité).
Outre un nombre assez élevé de pourriciels, on retrouve le nouvel assistant de Google, Gemini, ainsi que la fonction Entourer pour chercher.
Le système s'avère agréable à utiliser, avec quelques fonctions IA ici et la. Par exemple, une fenêtre flottante verticale procure un accès rapide à divers outils, dont certains qui permettent de traduire un site Web ou une conversation en temps réel. C'est toujours pratique pour ceux qui ne maitrisent pas la langue de Shakespeare (ou une autre langue étrangère).
De plus, parmi les fonctions de retouche photo, on retrouve les modes gomme magique AI, Visage net IA (nos test nous laissent un sérieux doute quant à l'efficacité et donc l'intérêt de cette fonction), Suppression du flou ou des reflets.
Photo
Le bloc optique du Realme P3 comporte deux objectifs. Un grand angle et un ultra grand-angle, comme le Honor 400 Lite ? En fait, il n'en est rien. Le smartphone n'embarque qu'un objectif grand-angle, associé à un capteur de 50 mégapixels (les photos sont toutefois capturées par défaut en 12,5 mégapixels.
En effet, le second objectif fait en réalité office de capteur de profondeur, qui permet d'obtenir un effet Bokeh (flou appliqué à l'arrière-plan) de qualité, pour les photos prises en mode Portrait. Ce choix peut sembler étonnant, et surtout inutile, car la plupart des autres smartphones obtiennent de bons résultats dans ce domaine sans ce type de capteur.
Même si la qualité des photos prises avec un objectif ultra grand-angle n'est généralement pas impressionnante sur les smartphones d'entrée de gamme, on peut néanmoins regretter son absence, qui limite sérieusement le polyvalence du Realme P3 en photographie. Et, bien sûr, le constructeur n'a pas remplacé l'ultragrand angle par un téléobjectif, qui aurait permis d'exploiter les possibilités d'un zoom optique.
Rappelons que – malgré son petit prix – le Nothing CMF Phone 2 Pro a cette particularité : en plus de ses objectifs grand-angle et ultra grand-angles, il est équipé d'un téléobjectif 2x, qui lui permet de se rapprocher de la personne ou de l'objet que l'on désire photographier. Et nos tests ont mis en évidence le fait que les images qu'il génère s'avèrent satisfaisantes jusqu'en mode 5x.
Comme on peut le voir sur les quelques exemples ci-dessus, le duo grand-angle est plutôt efficace, lorsque les conditions de luminosité ambiante sont excellentes. Et même si la précision des photos n'est pas renversante, les résultats sont bons dans l'ensemble, avec des couleurs fidèlement restituées.
En revanche, pour ce qui est du zoom numérique, nous avons pu constater qu'il ne faut pas en abuser. En fait, si on se limite au zoom 2x, les photos capturées demeurent d'assez bonne qualité, même si on commence déjà à voir une nette baisse de la précision si on les affiche sur un grand écran.
Pour le reste, on peut regretter que, contrairement à d'autres smartphones récents, le zoom numérique 5x génère des clichés trop approximatifs, trop lissés, pour être satisfaisants.
De nuit, on aurait pu s'attendre à des résultats convaincants, grâce à la technologie Quad Pixel Binning, qui permet de créer un “super pixel” en regroupant les pixels 4 par 4, afin de capter 4 fois plus de lumière, afin de mieux distinguer les détails. Mais, force est de constater que l'objectif et le capteur grand angle ne se montrent pas des plus performants, loin de la.


En effet, les clichés capturés lors de nos tests se sont souvent révélés inexploitables (flous). Dans le meilleur des cas, avec des sources lumineuses à proximité directe, si les photos font illusion sur le petit écran, il suffit de les visionner sur un moniteur pour constater une précision très approximative. Bref, autant éviter d'utiliser le Realme P3 pour prendre des photos de nuit.
Pour les selfies, le smartphone fait appel à un capteur de 16 mégapixels. Du coup, les sujets bénéficient d'une précision satisfaisante.
Et, si on fait appel au mode Portrait, on dispose de toutes les fonctions nécessaires pour embellir les visages, modifier la colorimétrie ou la puissance de l'effet Bokeh (flou de l'arrière-plan).
On note qu'à l'instar de nombreux smartphones concurrents, le détourage du sujet principal ne laisse aucune pitié pour les cheveux récalcitrants. Ceux-ci sont purement et simplement effacés.
Le souci, c'est que – même lorsque ceux-ci se démarquent clairement de l'arrière-plan – le smartphone ne sait pas trop quoi en faire et se contente de les flouter, ce qui n'est pas très satisfaisant (voir photo ci-dessus). Plus étonnant encore, le détourage du (superbe !) chapeau de paille a manifestement posé un problème et – comme pour les cheveux – une partie de son bord gauche a été en partie effacée. Dommage.
Enfin, le Realme P3 peut réaliser des séquences vidéo en 4K, mais avec seulement 30 images par seconde.
Autonomie
Avec sa batterie de 5260 mAh, le Realme P3 se met au même niveau que le Honor 400 Lite. En revanche, ses concurrents de Samsung et Nothing ont tous les deux une batterie de “seulement” 5000 mAh.
C'est vraisemblablement pour ça que le smartphone s'est montré quasiment à la hauteur du premier (et a donc offert une meilleure autonomie que les deux autres), avec le test d'endurance intégré à l'application PC Mark (avec un affichage ajusté à 200 nits et le taux de rafraichissement par défaut, Automatique). En effet, le Realme P3 a fonctionné pendant 15 heures et 26 minutes, ce qui est donc un très bon résultat. Et si on force l'affichage en mode 60 Hz, l'autonomie progresse légèrement, puisqu'elle passe à 16 heures et 11 minutes.
D'autre part, l'autonomie en streaming vidéo (toujours avec une luminosité de 200 nits et en 60 Hz) peut être estimée à un peu moins de 20 heures (19 heures et 21 minutes précisément), avec une batterie pleinement chargée. En effet, la lecture en boucle d'un film de 2 heures a fait baisser le niveau de la batterie de 7 % (1er visionnage), 20 % (2e visionnage) et 31 % (3e visionnage).
Enfin, le Realme P3 se démarque de ses concurrents lorsqu'il s'agit de regonfler sa batterie, puisqu'il supporte une charge filaire en 45 W. Il s'avère donc – dans ce domaine – plus rapide que les concurrents dont nous avons déjà parlé (35 W pour le Honor 400 Lite, 33 W pour le CMF Phone 2 Pro et 25 W seulement pour le Samsung Galaxy A26). Inutile de préciser que le smartphone n'est pas assez cher pour bénéficier de la charge sans fil !
On note également que le smartphone supporte la technologie SuperVooc, développée par Oppo (dont la maison mère est la même que Realme et OnePlus). Ainsi, à l'aide d'un adaptateur secteur OnePlus de 65 W (SuperVooc), la batterie s'est rechargée à hauteur de 21 % en 15 minutes, puis 39 % en 30 minutes et 82 % en une heure. Au final, il aura fallu attendre 20 minutes de plus pour qu'elle retrouve sa pleine capacité.
Alors, on achète ?
Derrière son allure modeste et son apparente simplicité, le Realme P3 a plus d'une corde à son arc, comme son étanchéité totale, sa recharge filaire assez rapide (plus rapide que ses concurrents), ses hautes performances (plus hautes de ces concurrents) et une endurance des plus satisfaisantes. Son seul réel point faible réside dans ses aptitudes photographiques, très limitées en raison d'un unique objectif dorsal, alors que ses concurrents sont dotés d'un objectif ultra grand-angle (avec en plus un téléobjectif pour le CMF Phone 2 Pro). Ce détail n'est toutefois pas dramatique, si on utilise généralement son smartphone pour prendre des photos d'une façon hyper basique, sans ultragrand angle (on vise et on clique sans vraiment réfléchir).
Grâce à un équipement relativement performant, le Realme P3 arrive à tirer son épingle du jeu face aux modèles des autres marques. Il est endurant et sa batterie peut être rechargée rapidement, si on dispose de l'adaptateur secteur adéquat. Il a donc tout ce qu'il faut pour satisfaire les besoins de (quasiment) tous les utilisateurs. Même les joueurs y trouveront leur compte, malgré son petit prix. Et le manque de polyvalence en photo ne devrait pas être un gros problème pour ceux qui ne mitraillent pas à la première occasion, ou alors qui le font, mais toujours en plein jour et uniquement avec l'objectif grand angle.
- Processeur performant
- Ecran très bien calibré
- Etanchéité totale (IP 68/69)
- Grande autonomie
- Lecteur microSD
- Recharge filaire assez rapide
- Polyvalence photo limitée (pas d'ultra grand angle)
- Haut-parleurs de piètre qualité
- Zoom numérique pas très convaincant


































