PayPal vient de mettre à jour ses conditions d’utilisation. Désormais, l’application de paiement mobile appliquera des frais d’inactivité allant jusqu’à 12 euros aux utilisateurs qui ne se sont pas connectés à leur compte depuis plus d’un an. Si c’est votre…
Orange Bank : les services ne seraient pas tout à fait gratuits !
Selon les informations transmises jeudi 20 avril 2017, nous pensions que les services bancaires proposés par Orange seraient gratuits. Il semble que certains frais soient en réalité prélevés et nombreuses sont les zones d’ombres relatives à certains tarifs. Des possibles qualifications de clauses abusives et Orange devrait clarifier certains éléments.
Orange a annoncé jeudi 20 avril 2017 les contours d’Orange Bank, l’offre de services bancaires de l’opérateur. Le marché est évalué à 2 millions de clients. Dès le 6 juillet 2017, vous aurez la possibilité d’ouvrir votre compte par le biais de l’application mobile ou dans l’une des 140 boutiques agréées de l’opérateur. Les salariés d’Orange auront accès à Orange Bank à partir du 15 mai 2017.
Gratuité soumise à conditions
Si nous vous annoncions la gratuité de certains services, comme la tenue de compte et la carte bancaire. Il semble que ce ne soit pas tout à fait le cas et que la gratuité soit soumise à conditions. Selon les informations obtenues par capital.fr, si vous effectuez moins de 3 paiements ou retraits, qu’il s’agisse de la carte bancaire ou de la fonction paiement de votre téléphone mobile, vous pourriez être débité de 5 euros.
Nous ne possédons pas davantage d’informations sur les autres frais qui pourraient être prélevés comme les pénalités de découverts, du coût des opérations hors zone euro, des retraits effectués hors borne automatique, etc. Bref, encore de grandes annonces alléchantes pour finalement se rendre compte qu’on a envie de dissimuler des éléments concrets. Cela était cependant prévisible et paraissait trop beau pour être vrai.
Orange pourra toujours se targuer de pratiquer des tarifs inférieurs à ses concurrents comme Bforbank, ING Direct ou encore Boursorama. Quoiqu’il en soit, qu’il s’agisse d’Orange Bank ou de ses concurrents, ces différents frais et prélèvements pourraient donner lieu, pour les consommateurs avisés, à des discussions techniques devant les tribunaux en matière de clauses abusives. Orange doit donc ajouter certains éléments afin d'éclaircir les incertitudes.