Apple disposerait d’un nouveau brevet qui pourrait permettre à Siri de n’obéir qu’à une voix unique. Ce pouvoir limité sécuriserait davantage iOS mais permet également aux propriétaires de produits Apple d’assurer leurs arrières contre les mauvais esprits qui seraient tentés de leur arracher leurs biens si précieux.

Une commande, nommée “Dis Siri”, pourrait n’être activée que par reconnaissance par l’assistant de la voix de son utilisateur, unique. Des interrogations peuvent apparaître en cas d’échec ou en cas de fausse manipulation, d’erreur de pilotage du système.

Quelles conséquences ? Blocage ? Déblocage ?

Il n’y aucune certitude. Mais diverses hypothèses imaginent que le système iOS dispose de paramètres de verrouillage en “sécurité maximum”. Pour le déblocage de l’iPhone, les solutions les plausibles penchent pour un système de reconnaissance de visage en 3D, accompagné d’un Scan d’Iris, capteur d’empreinte et reconnaissance de voix. Votre iPhone deviendrait hypersécurisé et quasi inviolable.

Siri et les débuts de l’intelligence artificielle

Si ce système peut apparaître incroyable, Siri est capable de plus encore. Siri serait capable de comprendre réellement son environnement immédiat. Oui, vous avez parfaitement compris, Siri aurait des sentiments. Doté des technologies PrimeSense et LineX (sociétés rachetées par Apple), Siri pourrait analyser les scènes en 3D et déterminer les actions à suivre. Par exemple, une “caméra Siri” équipant AppleTV pourrait mettre le film sur pause si vous sortez de la pièce.

Et ce n’est pas tout. Siri peut reconnaitre si un utilisateur est âgé ou non et agir sur le volume du son en connaissance. A cela s’ajoute que Siri puisse analyser les scènes de dialogue. Siri aurait la capacité de mémorisation contextuelle, enrichissant sa base de données de l’ensemble de ses analyses pour anticiper les interactions et requêtes de l’utilisateur.

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Si cette évolution technologique est hors norme, elle n’est pas sans vices. L’anticipation des interactions peut poser problème dans la mesure où il pourra agir de façon autonome et automatisé alors que cette action ne reflètera pas nécessairement la volonté de l’utilisateur. `

En somme, il s’affranchirait du donneur d’ordre, ce qui pose la question du dépassement de l’homme par la machine et des règlementations à envisager afin de poser des limites face aux dangers que ces évolutions représentent.